Mosicales

© Marzhin Schawn
Écoute ce sont les trilles
Que j'ai cueilli des froids cristaux
Aux sangs brûlants des respirations du temps
De ses chairs vivantes
Veux tu leurs flots qui luttent
Par bouts de plumes dans l'irréel des saisons ?
J’ai pensé mosicales
Pour être à la limites de leurs variables
Plus élégant à percevoir la naissance de leurs beautés
Et faire cils d'encres
En ta pupille leurs papillons
Dans la course enjouée des lumineuses spirales
T'emmêler à leurs chants
Comme les ombres se font bagages
Dans le lit où grisonnent les effacés des pleurs
Faire en cet agenda terrestre
Quelques sourires pour la guérison des plaies
Puis soustraire de cette mansarde toutes plaintes de ses reflets
Demain est une horloge
A n'être au bout du compte qu'un homme
Avec des yeux célestes lorsque que le monde flambe
Dans son chemin faire son son
Des envols du présent dans l'immense
Où vont nos lambeaux de lignes en traces plus souples
Que cette flibuste de l'à voir
Chorégraphie tous les vents et distancesPour délivrer en torsades d'encre la vie par horreur du vide
Et dans ce tango de phrases
Aux surprises de leurs destinations se blottir
Pour mieux coller l'oreille au cœur des douces prosodies
...
© Schawn
le 11 Février 2010
Que j'ai cueilli des froids cristaux
Aux sangs brûlants des respirations du temps
De ses chairs vivantes
Veux tu leurs flots qui luttent
Par bouts de plumes dans l'irréel des saisons ?
J’ai pensé mosicales
Pour être à la limites de leurs variables
Plus élégant à percevoir la naissance de leurs beautés
Et faire cils d'encres
En ta pupille leurs papillons
Dans la course enjouée des lumineuses spirales
T'emmêler à leurs chants
Comme les ombres se font bagages
Dans le lit où grisonnent les effacés des pleurs
Faire en cet agenda terrestre
Quelques sourires pour la guérison des plaies
Puis soustraire de cette mansarde toutes plaintes de ses reflets
Demain est une horloge
A n'être au bout du compte qu'un homme
Avec des yeux célestes lorsque que le monde flambe
Dans son chemin faire son son
Des envols du présent dans l'immense
Où vont nos lambeaux de lignes en traces plus souples
Que cette flibuste de l'à voir
Chorégraphie tous les vents et distancesPour délivrer en torsades d'encre la vie par horreur du vide
Et dans ce tango de phrases
Aux surprises de leurs destinations se blottir
Pour mieux coller l'oreille au cœur des douces prosodies
...
© Schawn
le 11 Février 2010
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